Prêté au SO Cholet, le jeune Faïz Mattoir s’est illustré de la plus belle des manières vendredi à l’occasion de la deuxième journée du National. L’international comorien signe le but du break pour les choletais sur une belle reprise de volée. Participant à la victoire des siens contre le FC Sète de Nakibou Aboubakari.
Ce fût l’une des affiches les plus comoriennes de ce weekend dans le troisième échelons français. Une rencontre opposant d’un côté, Younn Zahary et Faïz Mattoir, titulaires avec le SO Cholet. Et de l’autre, Nakibou Aboubakari (titulaire) et Nassim Ahmed (73è) avec le FC Sète 34. Un début de match légèrement dominé par les choletais qui finissent par ouvrir le score après la demi-heure de jeu par Vincent Créhin (37è). En confiance, le but du break ne s’est pas fait attendre. Un centre de Yohann Le Méhauté venu de la droite trouve Faïz Mattoir qui double la mise d’une belle reprise de volée. Sa première réalisation sous ses nouvelles couleurs. Au terme de la rencontre, Cholet finit par s’imposer par 3 buts à 1.
Rafiki Saïd dans le groupe brestois
En Ligue 1, quelques jeunes comoriens pourraient gratter quelques minutes cette saison. Nombreux dans les centres de formations des grandes écuries françaises, ils se sont très bien distingués durant la préparation. Trois d’entre eux sont convoqués en équipes premières en ce début de saison. Le milieu de terrain Aymeric Ahmed (17 ans) figurait dans le groupe strasbourgeois lors de la première journée. Habitué d’être convoqué en équipe première, le défenseur Warmed Omari (21 ans) a la confiance de Bruno Genesio. Dans le groupe contre Lens, il est de nouveau appelé pour le déplacement cet après-midi à Brest. Un Stade Brestois 29 qui a fait appel pour la première fois à son jeune attaquant Rafiki Saïd (21 ans). Précédemment prêté dans la seconde moitié de la saison dernière au Stade Briochin.
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Fondateur et Rédacteur en chef de Comoros Football 269. Un passionné de football africain et un éternel fan de Young Africans (Yanga). Entre le Taarab qui l'inspire et d’être possédé au moindre lyrics d'un Igwadu, il demeure au moins un Makua de culture Swahili.