A trois mois des échéances de mars 2021, le staff technique des Cœlacanthes se penche déjà dans l’organisation de ses deux ultimes rencontres. Le Manager général de l’équipe nationale El-Hadad Himidi ainsi que le Team manager Djamal Mohamed sont attendus début janvier à Moroni pour une mission spécialement dédiée.
En bonne position pour décrocher une qualification historique à une phase finale de CAN, les Comores n’ont plus besoin que d’un petit point pour entrer dans l’histoire. Deuxièmes du Groupe G à égalité de points avec les Pharaons égyptiens (1ers, 8pts, +3), les Cœlacanthes boucleront la campagne qualificative pour la CAN 2022 en mars prochain face au Togo et à l’Egypte. Une réception des togolais à Malouzini avant un déplacement au Caire.
Élaboration d’un budget de l’équipe nationale pour 2021
C’est dans ce contexte qu’une visite de travail de deux membres du staff technique est prévue du 4 au 8 janvier à Moroni. Le Manager général El-Hadad Himidi ainsi que le Team manager Djamal Mohamed se réuniront avec les membres de la fédération pour aborder la question de l’organisation de ces deux rencontres. Ils évoqueront, entre autres, le Plan de route de mars 2021, le Budget globale des deux matchs, les installations du Stade de Malouzini et les mesures sanitaires à mettre en place.
Mais l’année 2021 sera cruciale en terme de préparation en cas de qualification pour la CAN. La Cosafa Cup 2021, l’Arab Cup of Nations 2021 ainsi que d’éventuels matchs amicaux seront à l’ordre du jour. C’est ainsi qu’une Projection sportive ainsi que l’Élaboration d’un budget de l’équipe nationale sur l’année 2021 seront aussi abordés durant leur séjour. Des notions généralement absentes dans le fonctionnement de nos équipes nationales. Seront aussi évoqués les contrats du duo El-Hadad Himidi – Djamal Mohamed et l’organigramme fonctionnel de l’équipe nationale.
Fondateur et Rédacteur en chef de Comoros Football 269. Un passionné de football africain et un éternel fan de Young Africans (Yanga). Entre le Taarab qui l'inspire et d’être possédé au moindre lyrics d'un Igwadu, il demeure au moins un Makua de culture Swahili.