Au centre de formation de l’Olympique de Marseille depuis 2013, le jeune Nassim Ahmed vient de signer un contrat stagiaire avec le club phocéen.
Les dirigeants marseillais ont officialisé ce vendredi la signature d’un contrat stagiaire pour un jeune du centre de formation après celle Alexandre Phliponeau il y a quelques semaines.
Après avoir gravi les échelons et les épreuves, le milieu relayeur Nassim Ahmed (17 ans) vient de franchir un nouveau palier avec l’Olympique de Marseille. En présence de son père, du président de l’OM Jacques-Henri Eyraud et d’Andoni Zubizarreta, le jeune d’origine comorienne a paraphé un contrat stagiaire de deux ans avec le club de sa ville. Il est désormais lié à l’OM jusqu’à la fin de la saison 2019/2020.
Nassim Ahmed qui a débuté la saison avec les U19 Nationaux a rapidement basculé dans le groupe National 2. Un pur gaucher, humble, travailleur et explosif sur le terrain, il a été élu deux fois « Jeune du mois » de l’OM en mars et octobre 2017. A seulement 17 ans, il est maintenant un joueur titulaire de l’équipe réserve au milieu de terrain dans un rôle de relayeur. Il vient d’ailleurs d’être récemment présélectionné en Equipe de France des moins de 18 ans.
🔵"Contrat stagiaire"
Nassim Ahmed, récemment présélectionné en @equipedefrance des -18 ans a intégré le centre de formation olympien en juillet 2013.
Le milieu relayeur vient de franchir un nouveau palier 👏😃Advertisement. Scroll to continue reading.Plus d'infos 👉 https://t.co/gq1w2tGc8A pic.twitter.com/ooO5fl0xHu
— Olympique de Marseille (@OM_Officiel) February 16, 2018
En juin de l’année dernière, son compatriote et international Comorien Abdallah Ali Mohamed (18 ans, National 2) a signé aussi un contrat stagiaire le club marseillais. Un club qui regorge plusieurs jeunes talents d’origines comoriennes à l’instar de Isaac Lihadji ou du jeune Aaron Kamardin « Jeune du mois » de décembre 2017.
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Fondateur et Rédacteur en chef de Comoros Football 269. Un passionné de football africain et un éternel fan de Young Africans (Yanga). Entre le Taarab qui l'inspire et d’être possédé au moindre lyrics d'un Igwadu, il demeure au moins un Makua de culture Swahili.