Dans une rencontre très animée à l’occasion de la 28è journée de Ligue 1, Dijon en déplacement à Saint-Etienne arrache le nul avec une sixième but de la saison pour Wesley Saïd.
Dijon peut s’en vouloir au terme du match qui l’a opposé samedi à l’AS Saint-Etienne. Après avoir mené deux fois au score, les dijonnais se sont vu rattrapés par des stéphanois en manque de réussite.
Le capverdien Julio Tavarès a fait parler sa puissance en ouvrant le score à la 32è après avoir éliminé Perrin avant de classer Ruffier, le gardien stéphanois (0-1). Trois minutes plus tard Saint-Etienne rate l’occasion de revenir au score. Robert Beric a vu son penalty repoussé par Baptiste Reynet. Il se rattrapera à la fin de la première période en reprend de la tete un centre de Silva (1-1). En seconde période, sur un centre parfait de Balmont, Wesley Saïd redonne l’avantage à Dijon à la 55è en plaçant une tête plongeante que Ruffier ne peut que freiner (1-2). Beric sauvera une nouvelle fois les stéphanois à la 61è sur une frappe puissante qui surprend Reynet.
6è but de la saison pour Saïd et une première à l’extérieur
Titulaire à 15 reprises en participant à un total de 24 rencontres cette saison, Wesley Saïd représente à lui seul 15% des buts de son équipe. L’attaquant dijonnais se porte bien visiblement et en passe d’être la révélation de la saison en Ligue 1. Il est apparu d’ailleurs à trois reprises saison dans l’Equipe type de la journée. Avec cette réalisation face à Saint-Etienne, une première à l’extérieur cette saison, l’attaquant d’origine comorienne est à six buts et deux passes décisives.
« Ce premier but à l’extérieur, c’est quelque chose que j’attendais et je suis très content d’avoir marqué. Depuis peu, on arrive à avoir des résultats à l’extérieur et il faut continuer dans cette voie. On avance tout doucement, le principal est de ne pas perdre et la prochaine fois, il faudra essayer de prendre les trois points ».
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Fondateur et Rédacteur en chef de Comoros Football 269. Un passionné de football africain et un éternel fan de Young Africans (Yanga). Entre le Taarab qui l'inspire et d’être possédé au moindre lyrics d'un Igwadu, il demeure au moins un Makua de culture Swahili.
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