Après une série de reports successifs, les éliminatoires du Championnat d’Afrique des Nations (CHAN) 2024 vont enfin pouvoir débuter. Ce mercredi, la Confédération Africaine de Football (CAF), réunie au Caire, a procédé au tirage au sort des qualifications. Toutefois, les Comores ont renoncé à prendre part à la compétition après avoir initialement été annoncées parmi les nations participantes. Dans la zone COSAFA, seules 8 des 14 nations membres se sont engagées dans ces qualifications.
Kenya, Ouganda et Tanzanie hôtes de la 8e édition
Au total, 40 nations participent à ces qualifications pour la huitième édition du CHAN. Le format s’étale sur deux phases, avec un second tour déjà fixé pour le mois de décembre, avec des rencontres qui se tiendront entre le 20-22 et le 27-29 décembre. Quant à la phase finale, elle se déroulera du 1er au 28 février 2025, dans un trio de pays hôtes : le Kenya, l’Ouganda et la Tanzanie, désignés par la CAF à la fin du mois de septembre.
La distribution des places qualificatives a été équitablement répartie entre les différentes zones. Ainsi, les groupes UFOA A, UFOA B, UNAF, UNIFFAC et COSAFA enverront chacun trois représentants. Quant à la région CECAFA, comprenant les trois pays organisateurs, elle bénéficiera d’une place supplémentaire, du fait de la qualification automatique de ses hôtes. En tout, 19 équipes seront présentes lors de cette phase finale, dont les trois nations organisatrices, qui, malgré leur statut d’hôtes qualifiés, participeront tout de même aux éliminatoires pour affiner leur préparation
Tirage au sort – Eliminatoires CHAN 2024 :
- 1er tour, du 25 octobre au 3 novembre (zone Sud – COSAFA)
- Zimbabwe – Eswatini (M1)
- Lesotho – Namibie (M2).
- 2e tour, du 20 au 29 décembre (zone Sud – COSAFA)
- Vainqueur M1 – Madagascar
- Vainqueur M2 – Angola
- Mozambique – Zambie.
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Fondateur et Rédacteur en chef de Comoros Football 269. Un passionné de football africain et un éternel fan de Young Africans (Yanga). Entre le Taarab qui l'inspire et d’être possédé au moindre lyrics d'un Igwadu, il demeure au moins un Makua de culture Swahili.